Normalement, la crise d’adolescence se produit durant la transition entre l’âge enfant vers l’âge adulte. Cependant, pour certaines personnes, cette phase ne se déclenche que quelques années plus tard.
Psychologiquement parlant, l’enclenchement de cette phase dépend de plusieurs paramètres. Afin de comprendre le sujet, découvrez dans le corps de l’article toutes les informations nécessaires.
Un bouleversement de personnalité
Dès la naissance, chaque individu est le sujet d’un changement, que ce soit au niveau physique que mental. Cela est dû au différent phénomène venant de l’extérieur. Chaque groupe et fréquentation imposent systématiquement une nouvelle culture chez une personne.
Du coup, à part sa personnalité, d’autre façon d’agir et de pensée s’intègrent automatiquement chez le sujet, déclenchant par la suite une crise identitaire.
Par conséquent, suite à cette intégration psychique, la personne elle-même n’arrive plus à établir la différence entre le vrai et le faux, ce qui lui est propre et ce qui lui est étranger en termes de personnalité. C’est pour cette raison qu’une personne âgée de 30, voire 50 ans peut être le sujet de la crise d’adolescence tardive.
Un changement soudain
Le changement est une situation que chaque personne ne peut accepter immédiatement.
En effet, le mécanisme psychique d’un individu requiert un petit temps d’adaptation pour déterminer les paramètres manquants ou le contraire.
Cela va lui permettre d’éclaircir les données réelles pour accepter la situation. Donc, si un événement a touché le narcissisme de la personne, donc, son support identitaire, ce changement et impression peuvent déclencher la crise d’adolescence tardive.
Ce qui implique une phase de transition jusqu’à ce que chaque mécanisme psychique et émotionnel s’adapte à la nouvelle situation.
Ainsi, la raison d’une crise d’adolescence tardive est tout simplement une question de changement interne suite à la succession de plusieurs éléments extérieurs.
Une idéalisation vis-à-vis aux parents
Normalement, à cause de l’éducation et de l’acculturation, un individu est toujours dans l’ombre de la personne qui lui est supérieure. L’exemple le plus concret est un enfant envers ses parents.
Peu importe la situation, une personne est encadrée par le fait que l’enfant se doit d’être respectueux envers ses parents. Et cette acculturation leur projette psychologiquement une illusion d’idéalisation.
Par conséquent, l’estime de soi de leur progéniture se basera en entière partie de cette image qu’offrent les parents.
De ce fait, même à 35 à 40 ans, les parents demeurent des référents. En conséquence, cette situation de dépendance met parfois les jeunes adultes hors d’eux.
Autrefois respectés et classés de sage, à partir de ce moment, les parents vont devoir supporter les changements causés par ce fonctionnement social ou la crise d’adolescence tardive.
L’inaccomplissement du passage entre deux phases
Vu que la crise d’adolescence tardive se traduit par le passage du mode de fonctionnement mental vers un autre qui serait, plus ou moins, plus adéquate à une situation. Le passage infantile, basé sur la dépendance vers une vie d’adulte dont le mot d’ordre est la responsabilité et la réciprocité. Une fois ce passage inachevé, l’enclenchement de la crise est inévitable.